Une importante pénurie de main-d'oeuvre guette le Québec dans les trois prochaines années, et la situation va ensuite s'aggraver, selon le Conference Board.
L'organisme canadien affirme que la province sera à court de 363 000 travailleurs, d'ici 2030, dans une étude rendue publique mercredi.
La pénurie anticipée représentera 8,5 % de la main-d'oeuvre totale du Québec.
D'après le groupe de réflexion établi à Ottawa, le Québec, qui manque déjà d'ouvriers spécialisés, connaîtra une pénurie plus généralisée dès 2010. Le besoin serait de 26 000 travailleurs, soit moins de 1 % de la main d'oeuvre totale de la province.
En plus des médecins, le Québec manque aussi d'ambulanciers, de professionnels des technologies de l'information et d'ouvriers spécialisés en aéronautique, notamment.
Les programmes de formation améliorés, l'accès plus facile à l'éducation et l'appui des investissements dans les nouvelles technologies sont parmi les pistes proposées par le Conference Board afin de pallier la pénurie en vue.
L'organisme suggère aussi de recruter plus d'immigrants qualifiés et de simplifier la reconnaissance de leurs diplômes et expériences. Ceci devrait se faire de pair avec la lutte contre la dénatalité et l'embauche de plus d'autochtones, de femmes et d'aînés.
La retraite obligatoire a été abolie au Québec, de même qu'en Ontario, au Manitoba, en Alberta, à l'Île-du-Prince-Édouard, au Yukon et dans les Territoires du Nord-Ouest. La Saskatchewan et la Colombie-Britannique devraient faire de même l'an prochain.
L'Ontario et l'Alberta, dont l'économie est promise à une plus forte croissance, devront aussi manquer de travailleurs d'ici 2025 ou 2030.
L'organisme canadien affirme que la province sera à court de 363 000 travailleurs, d'ici 2030, dans une étude rendue publique mercredi.
La pénurie anticipée représentera 8,5 % de la main-d'oeuvre totale du Québec.
D'après le groupe de réflexion établi à Ottawa, le Québec, qui manque déjà d'ouvriers spécialisés, connaîtra une pénurie plus généralisée dès 2010. Le besoin serait de 26 000 travailleurs, soit moins de 1 % de la main d'oeuvre totale de la province.
En plus des médecins, le Québec manque aussi d'ambulanciers, de professionnels des technologies de l'information et d'ouvriers spécialisés en aéronautique, notamment.
Les programmes de formation améliorés, l'accès plus facile à l'éducation et l'appui des investissements dans les nouvelles technologies sont parmi les pistes proposées par le Conference Board afin de pallier la pénurie en vue.
L'organisme suggère aussi de recruter plus d'immigrants qualifiés et de simplifier la reconnaissance de leurs diplômes et expériences. Ceci devrait se faire de pair avec la lutte contre la dénatalité et l'embauche de plus d'autochtones, de femmes et d'aînés.
La retraite obligatoire a été abolie au Québec, de même qu'en Ontario, au Manitoba, en Alberta, à l'Île-du-Prince-Édouard, au Yukon et dans les Territoires du Nord-Ouest. La Saskatchewan et la Colombie-Britannique devraient faire de même l'an prochain.
L'Ontario et l'Alberta, dont l'économie est promise à une plus forte croissance, devront aussi manquer de travailleurs d'ici 2025 ou 2030.
Contribuição: Marcelo C.
Fonte: http://www.radio-canada.ca/
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